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La diffamation ne relève pas de la libre critique
Lors d'une réunion publique organisée par l'association Controffensive à Luceau, le 18 février dernier, un participant très particulièrement informé a soutenu « la disparition du Collectif Val-de-Loir parce que Blachère a mis l'argent dans sa poche ». Loin d'en appeler à la raison et à la mesure, les responsables de la rencontre en ont ri à gorge déployée.
Ce n'est pas la première fois que des membres de cette association profèrent ou écrivent de tels propos avec l'approbation de fait de la présidente et de son entourage.
Le conseil d'administration du Collectif Val-de-Loir rappelle que son Président n'est nullement en charge des finances de l'association. Celles-ci sont gérées par la trésorière Michèle Quiriou qui, en toute transparence, a rendu compte de sa gestion à l'assemblée générale du 13 février. Il lui en a été donné quitus à l'unanimité après que Annick Leprévost, en charge d'une mission de contrôle des comptes, en a certifié l'exactitude.
Le CA assure son président, sa trésorière et Annick Leprévost de son entière confiance et son indignation face à de telles bassesses. Si chacun est libre de critiquer, fusse avec vivacité, ce que bon lui semble, l'injure et la diffamation n'ont pas leur place dans le débat public. De telles pratiques sont d'abord le déshonneur de celles et ceux qui les tolèrent quand ils ne les encouragent pas.
Le CA du Collectif a mandaté son président afin que, témoignages à l'appui, plainte soit déposée auprès de la Gendarmerie nationale. Tout nouvel incident analogue fera l'objet d'une plainte en diffamation auprès du Procureur de la République..
Le Collectif Val-de-Loir, le 25 février 2016
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